Lève les yeux d'un dégoût amoureux
Du sang dans le ciel
Plaie enchanteresse où se noient mille cadavres
Érosion moribonde, ils sondent le sol en une hécatombe
Un dernier carnaval suffoque sur le relief du sol,
avale l'encens d'une détresse morte par osmose,
poussée à l'épuisement, en chute libre vers sa délivrance
Un tel déluge s’empile en agglomérat nostalgique,
s’extirpe de son cirque et se fracasse sur le vif
Étreinte de marbre, à fleur de peau, morcelée
Calquées sur l’imminente satire,
les pulsions s’harmonisent et convergent vers le silence d’un rire
perçu à son insu lors d’une brève dérive
supported by 32 fans who also own “Hémorragie céleste”
Swirling guitars, furious drums, vocals that at the same time howl from infinite distance and are right up in your head; everything put into dissonant form with the help of unconventional songwriting. This album is my personal key to the icelanding black metal madness that I've ignored for way too long! Lukas Kaufmann